Clocher d'or Le 9 janvier 2019 a eu lieu la remise des prix des Clochers d’Or aux Archives Départementales de Périgueux. Cette sympathique cérémonie a pour but de remettre les prix des lauréats qui se sont consacrés à l’étude d’un village ou de personnes du Périgord.
Ce concours, unique en France, met ainsi en valeur un patrimoine ou des personnalités locales d’une région qui en regorge.
Les compliments reçus pour l’ouvrage « Jean et Angèle s’écrivent en 14-18 » faisaient état d’un titre « plaisant », d’une histoire « très attachante », d’un sujet traité de « façon très originale » et d’un livre que l’on était « fier d’avoir dans sa bibliothèque ».
Jean et Angéline sont devenus des amis. Cette histoire est très attachante, car même si cette période était terrible, la vie offrait parfois de bons moments : par exemple lorsque Jean avait une agréable vie de cuisinier.
J’ai aussi été attendrie en lisant les remèdes d’autrefois. Lorsque j’étais enfant ma maman soignait les maux de gorge avec des tisanes de feuilles de ronce sucrées au miel. … Heureusement je n’ai pas fini la lecture de cet ouvrage car c’est toujours un moment privilégié de partager la vie des Delord et de leur fille Georgette.
Couverture Couverture Couverture Feuille à Feuille édition, 24150 Lalinde, 2019.
Secrets de Pays. N° 9, 1er semestre 2017 « Qu’est devenue la Madelon ? » chantait Charles Trenet en 1960. Aujourd’hui, cent ans après la Grande Guerre, la Madelon et les Poilus de 14-18 ont tous disparu, jusqu’au dernier témoin.
Disparus, certes, mais pas dans notre mémoire où leur souvenir suscite tant d’émotions. Ne s’agissait-il pas de nos grands-pères ou arrière-grands-pères ? Cruels destins que les leurs, qui furent envoyés dans des batailles, les plus terribles jamais connues.
Couverture Le Périgord a été épargné par les combats pendant la première guerre mondiale mais fut grand pourvoyeur de combattants.
En suivant l’actualité locale et plus particulièrement le parcours d’une centaine d’hommes de Saint-Aubin -de-Lanquais l’auteur éclaire le destin de nos ancêtres et la diversité des situations terribles auxquelles ils ont été confrontés.
À Bergerac, Saint-Aubin-de-Lanquais ou Beaumont, les mauvaises nouvelles se succèdent, annonçant blessures, disparitions ou décès. L’arrière souffre moralement mais aussi économiquement malgré les aides et « secours » attribués par les communes et le département.